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 | Les dossiers 
 
    
    
    
    
    
    SAINTE MARIE MADELEINE À LA 
    SAINTE BAUME 
      
        
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          La tradition chrétienne dit que Marie-Madeleine, son frère Lazare, sa 
          soeur Marthe, Saint Maximin, Marie Jacobé, Marie Salomé, Sarah et peut 
          être beaucoup d'autres  quittent la Palestine entre 43 et 45 de 
          notre ère, dans une barque sans voiles ni rames, qui finira sa course 
          dans la Provence Romaine à l'embouchure du Petit Rhône. 
          
          
          Lazare ira évangéliser Marseille et sera son premier évêque, Marthe 
          ira évangéliser Avignon, puis Tarascon ou elle se fixera en chassant 
          le Dragon La Tarasque. Maximin l'un des 72 disciples sera le premier 
          évêque d'Aix-en-Provence, Marie jacobé soeur de la Vierge, Marie 
          Salomé mère des apôtres Jacques et Jean, et Sarah leur servante, 
          resteront au lieu d'accostage et fonderont Les Saintes Maries de la 
          Mer. 
          
          
          Marie-Madeleine passera à Marseille, puis ira vivre en ermite pendant 
          trente ans dans une grotte de la montagne qui deviendra la Sainte 
          Baume*, pour y faire pénitence n’ayant que sa chevelure pour seul 
          vêtement. 
          
          
          De cet épisode raconté  en chansons de geste, on date le début de 
          la Christianisation de la Provence.* Bauma 
          est une grotte en procençal
 
 
 |  Sainte Madeleine dans l'église St Erige à Auron (06)
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    Les Evangiles font mention de trois Marie-Madeleine fréquemment 
    confondues en une seule personne : 
    
       
    Marie de Béthanie sœur de Marthe et de Lazare le ressuscité qui le reçut 
    dans sa maison. 
    
       
    Marie la Pécheresse qui inonda de parfum les pieds de Jésus et les essuya 
    avec ses cheveux au cours du repas chez Simon le pharisien, 
    
       
    Marie de Magdala, guérie par Jésus des démons qui l’habitaient, présente 
    lors de la crucifixion et de la mise au tombeau, à qui le Christ est apparu 
    après sa résurrection. 
    
    
    Au sommet de la montagne où se trouve la grotte une petite chapelle marque 
    l’emplacement où les Anges dit-on la transportait 7 fois par jour. 
    
    
    Près de Saint-Maximin sur la route de Nans, en bordure de la voie Aurélienne, 
    un pilier octogonal surmonté d’une sculpture représentant la Sainte 
    transportée par les Anges a été érigé au XV° siècle à l’endroit où, venant 
    de la Sainte Baume, elle reçut la communion des mains de Saint Maximin avant 
    de mourir. 
    
 
    
    
    
    
    DÉVOTIONS 
    ET PÈLERINAGES À LA 
    GROTTEDE LA SAINTE BAUME
 
    
    
    Durand des siècles, des Papes, des Evêques, des Comtes et des Rois, iront en 
    pèlerinage à la Sainte Baume : 
    
    
    Au Ve siècle, 
    fondation d’un Prieuré à la Sainte Baume, par Saint Cassien, fondateur de 
    l’Abbaye Saint Victor de Marseille. 
    
    
    Au IXe siècle 
    le pape Jean VIII (872-882) se rend en visite à la grotte, suivi quelques 
    années plus tard par le pape Etienne VI (896-897). 
    
    
    Vers 880 Boson 1er, 
    fondateur de la dynastie des Comtes de Provence se rend en pèlerinage à la 
    grotte. 
    
    
    Le 22 juillet 1254, Saint Louis visite la Sainte Beaume à son retour de la 7ème croisade 
    en Terre Sainte. 
    
    
    En 1279, Charles II d’Anjou, roi de Sicile et comte de Provence, entreprend 
    des fouilles à Saint-Maximin qui aboutissent à la découverte des reliques de 
    sainte Marie-Madeleine. 
    
    
    En 1288, il entreprend la construction de la basilique de Saint-Maximin et 
    en 1295, avec l’appui du pape Boniface VIII, il installe les Dominicains à 
    Saint-Maximin et à la Sainte-Baume. 
    
    
    Ensuite les pèlerinages des Papes se succèdent : Clément V en 1309, Jean 
    XXII en 1316, Clément VI en 1345, Urbain V en 1362, Grégoire XI en 1376. 
    
    
    En 1376 toujours, pèlerinage de sainte Catherine de Sienne. 
    
    
    En 1332, dans la même journée, visite de Philippe VI de Valois, roi de 
    France, d’Alphonse IV d’Aragon, de Hughes de Chypre, de Jean de Luxembourg, 
    roi de Bohème, et de Robert comte de Provence. 
    
    
    En 1340, pèlerinage de sainte Brigitte de Suède avec son époux et ses 
    enfants. 
    
    
    En 1348, La reine Jeanne de Provence. 1362, Jean II le Bon, roi de France. 
    1387, Marie de Blois, épouse de Louis 1er, 
    roi de Provence. 1389, Charles VI le Fou, viens à l’âge de 21 ans avec Louis 
    II (12 ans), roi de Sicile et comte de Provence. 
    
    
    En 1409, La reine Yolande d’Aragon, épouse de Louis II, donne à perpétuité 
    une rente annuelle de 200 florins. 
    
    
    En 1435, Isabelle de Lorraine, épouse du roi René. 1438, le roi René, fils 
    de Yolande d’Aragon. 1440, Charles VII, roi de France et Marie d’Anjou, sœur 
    du roi René. 1447, deuxième visite du roi René.qui fait d’importants dons au 
    couvent de Saint-Maximin pour la construction de la basilique ; en 1448, les 
    travaux de fouilles qu’il a fait entreprendre aux Saintes-Maries-de-la-Mer 
    aboutissent à la découverte des reliques des trois Maries. 
    
    
    En 1435 toujours,  le Dauphin Louis (futur Louis XI, roi de France) 
    visite la Grotte. 
    
    
    En 1456, Louis XI, roi de France et son épouse Charlotte de Savoie, qui 
    dotent richement la grotte. 
    
    
    En 1470, troisième visite du roi René avec sa seconde épouse Jeanne de 
    Laval. 
    
    
    En 1499, Anne de Bretagne fait réparer le reliquaire de sainte 
    Marie-Madeleine 
    
    
    En 1516, l’archevêque d’Arles Jean Ferrier fait ériger les oratoires du 
    Chemin des Rois 
     Tableau 
    de Prosper-François Barrige de Fontainieu (1760-1850), Musée 
    Municipal de Draguignan, Cliché Louis GO.
 François 1er et 
    la reine Claude de France visitant la Sainte Beaume en 1516
 
    
    
    Le 1er janvier 
    1516, à son retour de Marignan, François Ier vient 
    rendre grâce en compagnie de Claude de France, fille de Louis XII et d’Anne 
    de Bretagne qu’il avait épousé le 18 janvier 1515. 
    
    
    En 1533, deuxième visite de François Ier, 
    à l’occasion du mariage de son fils, Henri d’Orléans, avec Catherine de 
    Médicis à Marseille. 
    
    
    En 1538, troisième pèlerinage de François Ier, 
    en action de grâce après la libération de la Provence. 
    
    
    Le 25 octobre 1564,visite de Catherine de Médicis, avec Charles IX roi de 
    France (14 ans), son frère le futur Henri III, et Henri de Navarre (11 ans). 
    
    
    Le 6 mars 1622, pèlerinage de Louis XIII pour la naissance d’un dauphin 
    'Dieudonné' le futur Louis XIV. 
    
    
    Le 5 février 1660, visite de Louis XIV, avec Anne d’Autriche et Mazarin. 
    
     Ci-dessus poëme en vieux provençal de Balthazar de La Burle, Valet de 
    Chambre du
 Cardinal de Bourbon (XVI siècle) relatant l'histoire de la Marie Madeleine à 
    la Sainte Baume.
 
 
 
 
      
        
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          GRAVURE SUR BOIS DU XVIème. 
          Siècle 
          
          
          Sur cette très belle gravure, on voit en bas sur la gauche le Chemin 
          des Rois venant de Nans.Puis plus haut la Fontaine de Nans avant le premier personnage en 
          rouge et ensuite le
 cinquième oratoire ‘Madeleine au Saint Sépulcre’ se voit au carrefour 
          du Chemin de l’Hôtellerie.
 La Chapelle des Parisiens construite en 1630 ne figure pas sur cette 
          gravure,
 l’Oratoire suivant, en direction du col, serait donc le sixième 
          oratoire signalé par Du Chesne.
 Le septième et dernier oratoire est bien visible au Col de même que la 
          Chapelle du Saint Pilon.
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    LA MADELEINE DE VÉZÉLAY 
    
    Au 
    temps de Charlemagne, Girard de Roussillon Duc de Bourgogne, missionna un 
    moine pour aller chercher des reliques de Sainte Marie-Madeleine à Aix. 
    Elles furent en fait "volées" et rapportées dans ce qui deviendra plus tard 
    la splendide Basilique de Vézélay, ce qui fut entérinné par le Pape de 
    l'époque. Vézélay devint ensuite le point de  rassemblement des 
    pèlerins du nord de la France et de l'Europe et le départ d'un important 
    chemin de Saint-Jacques, vers Compostelle. Vézelay connut ensuite un 
    incessant mouvement de pèlerins.C'est au pied de la Basilique de Vézélay qu'en 1146, Saint Bernard prêcha la 
    deuxième croisade devant tous les Rois, l'Empereur et autres puissants 
    Seigneurs d'Europe. Mais ceci est une autre histoire!
 
    
    
    
    
    
    LES ORATOIRES DE LA SAINTE BAUME 
    
    
    C’est en 1516 que Monseigneur Jean Ferrier, archevêque d’Arles, fit ériger 
    les oratoires de la Sainte-Baume, en souvenir du pèlerinage qu’il venait de 
    faire à la grotte où sainte Madeleine vécu trente ans dans la pénitence. Ils 
    sont décrits dès 1547 par Du Chesne : « Comme on commence à monter cette 
    montagne, assez fâcheuse n’était l’artifice duquel on a usé à rendre le 
    chemin plus aisé, on trouve sept petits oratoires enrichis de belles 
    peintures et représentations en bosse, où l’on avait élaboré toute la vie de 
    cette bienheureuse repentie. » 
      
        
          |  | 
          
          
          Ils suivent l’ancien chemin qui, de Nans, conduisait à la grotte avant 
          la construction de la route actuelle en 1897. Du Chesne nous indique 
          que le premier oratoire se trouve au bas de la montée, à environ deux 
          kilomètres de Nans ; il n’en subsiste que le socle en pierres de 
          taille, la niche contenait un bas-relief représentant 
          « Marie-Madeleine quand elle était encore dans le monde, revêtue de 
          ses habits pompeux, avec ses chaînes d’or, assise néanmoins devant 
          Notre Seigneur qui prêchait aux foules, au moment où il la délivrait 
          de la possession du démon. » 
          
          
          
 
          
          
          Au contour de la vieille route, un peu avant qu’elle ne traverse la 
          route actuelle, voici le second oratoire ; il n’en reste que le socle, 
          la Sainte y apparaissait « toute changée en ses façons d’habits, 
          déchevelée, contre terre, baisant les pieds de notre Rédempteur. » 
          
          
          
 
          
          
          Le troisième, nous dit C.M. Girdlestone, « est situé à l’endroit 
          précis où la voie atteint le plateau et où les pèlerins, à la fin de 
          la montée, apercevaient la grotte pour la première fois. C’est un 
          endroit aujourd’hui presque inconnu des promeneurs et fréquenté 
          seulement par les charbonniers les années de coupe. La vue, de ce 
          point, est la plus belle que l’on puisse avoir de la chaîne entière. 
          Ce monument, relativement bien conservé, est un élément de grande 
          beauté. |  
          | 
          
          
          Connu sous le nom d’Oratoire de Miette, on raconte qu’aux jours les 
          plus sombres de la Révolution les parents d’une jeune fille occupaient 
          comme gardiens le couvent d’où les moines avaient été chassés. Par une 
          froide journée d’hiver, un passant vint leur demander asile, mais au 
          moment où le père de Miette le faisait entrer, le malfaiteur le tua 
          d’un coup de fusil.
 
          
          
          A ce bruit la mère descendit à la hâte, et fut tuée de la même façon. 
          La pauvre enfant, affolée, chercha à fuir, elle descendit à travers la 
          forêt, poursuivie par le bandit qui voulait faire disparaître ce 
          témoin gênant. 
 
          
          
          Elle parvint ainsi, à bout de souffle, à côté de l’oratoire près 
          duquel elle tomba en prières. L’assassin chercha en vain et continua 
          sa course, puis disparut dans la forêt sans voir Miette, toute 
          tremblante, agenouillée devant l’oratoire et remerciant sainte 
          Madeleine de sa protection miraculeuse. 
          
          
          Dans la niche se trouvait un bas-relief ou une fresque ; Du Chesne ne 
          donne pas de précision à cet égard, mais le R. P. Gavoty, dans son 
          « Pèlerinage à la Sainte-Baume » paru en 1826, indique : « il ne 
          manque que le bas-relief ; on en avait mis un nouveau représentant 
          Marie-Madeleine, à ses pieds, attentive à la parole du Christ chez 
          Sainte Marthe. » |  |  
          | 
          
          
          Restauré en 1964, c’est un pilier en pierres de taille avec une grande 
          niche en arc surbaissé encadrée de pilastres ornés de sculptures et 
          surmonté d’une corniche moulurée sur laquelle repose un fronton 
          triangulaire où l’on voit les armes de l’archevêque « écartelé aux 1 
          et 4 d’argent, chargé de 4 fers de lance deux à deux, aux 2 et 3 de 
          gueules à 2 gerbes d’or placées en sautoir, et sur le tout écu d’azur 
          à une fleur de lys d’or » (La Sainte Baume. Du chanoine Escudier 
          1925). 
          
          
          La niche abrite un nouveau bas-relief du sculpteur Olivier Petit 
          représentant Marie-Madeleine aux pieds de Jésus à Béthanie. |  
          | 
          
          
          Sur le socle de nombreux ‘Fers à cheval’ ont été gravés par des 
          Compagnons du Devoir sur les traces de Maître Jacques Soubise, 
          fondateur légendaire du compagnonnage retiré, en 950 av. J.-C., à la 
          Sainte Baume où il aurait été assassiné et enterré à son retour de la 
          construction du temple de Salomon |  |  
          |  | 
          
          
          C’est à l’entrée de la forêt, non loin du carrefour des Trois Chênes, 
          que se trouve l’oratoire suivant, en bordure du Chemin des Rois qui 
          conduit à la grotte. 
          
          
          De construction similaire au précédent les pilastres, chapiteaux et le 
          fronton avaient disparu ainsi que le bas-relief sur lequel on voyait 
          « Marie-Madeleine embrassant la croix sur le calvaire et dans un angle 
          était reproduit le portrait de l’archevêque Jean Ferrier, en camail et 
          à genoux sur un prie-dieu, avec la mention : Joannes Ferrerius 
          archiepiscopus arelatensis hoc monumentum igi curavit. MDXVI ». 
          Inscription qui, dit-on, se retrouvait sur chacun des sept oratoires. 
          Classé M.H. en 1913. 
          
          
          Restauré en 1937, un nouveau bas-relief en pierre de M. Olivier Petit, 
          représentant la Vierge Marie, Saint Jean et Sainte Madeleine aux pieds 
          de la Croix, a pris place dans la niche.     |  
          | 
          
          
          L’oratoire suivant se trouve aux quatre chemins de Nans, de la grotte, 
          du Saint Pilon et de l’Hôtellerie, après avoir dépassé la fontaine. 
          
          
          Mutilé comme les précédents, il avait conservé, jusque vers 1925, ses 
          pilastres avec leurs chapiteaux ainsi qu’une partie de sa corniche. 
          
          
          Le bas relief contenu dans sa niche représentait « Madeleine aux 
          abords du Sépulcre du Sauveur où deux Anges lui annonçaient sa 
          résurrection. »  
          
          
          Il a été restauré en 1937 par le sculpteur Marius Guérin de Pertuis 
          sous la direction de M. Roustan, architecte des Monuments Historiques. 
          Un nouveau bas-relief réalisé par Olivier Petit a pris place dans la 
          niche, protégé par une grille. 
          
          
          De même style que les précédents, mais avec des colonnettes à la place 
          des pilastres, il est également classé M.H. depuis le 22 juillet 1913. |  |  
          | 
          
          
          Un sixième oratoire existait lorsque Du Chesne parla de ces petits 
          monuments, mais impossible d’en retrouver la trace, il devait se 
          trouver non loin de l’ancienne chapelle, aux murs couverts de marques 
          compagnonniques, dite « Chapelle des Parisiens », située en bordure du 
          sentier vers le Saint Pilon ; on y voyait « Marie-Madeleine dans une 
          barque venir vers notre France, en la compagnie de plusieurs autres,et 
          au dernier vous la remarquerez couchée de son long avec un crucifix en 
          mains, considérant l’amour que notre Dieu a porté au genre humain. » |  
      
        
          | 
          
          
          Le dernier oratoire de la série situé au-dessous du col du Saint Pilon 
          a été restauré en 1975 par l’Association ouvrière des Compagnons du 
          Devoir du Tour de France sous la direction de Jean Cochinaire.  
          
          
          De construction plus sobre que les précédents la niche en arc 
          surbaissé est encadrée par deux colonnettes, elle abrite un bas-relief 
          d’Olivier Petit, de Flayosc, représentant la scène du « Noli me 
          tangere ». |  |  
          | 
          
          
          Nota : En 2013 ont été inaugurés les socles recréés des deux premiers 
          oratoires aujourd'hui disparus, ces travaux ont été réalisés par les 
          Apprentis d'Auteuils. 
          Ces photos seront à faire pour actualiser notre inventaire.
 
          
          
          
          Texte de Jean Dieudé de mai 2005, remanié et complété.Photos de Jean Dieudé
 F.L. le 11 août 2015
 |  Connaissance et Sauvegarde des OratoiresLe Beverly, 226 B Avenue de La Lanterne, 06200 NICE
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